5 - [fr:]Texte de Guy de Maupassant à conjuguer au présent de l'indicatif [/fr:] [en:]French conjugation exercise with a text : Le présent de l'indicatif[/en:]
[fr:]Dans ce texte, conjugue les verbes entre parenthèses au présent de l'indicatif.[/fr:] [en:]In this text, conjugate the verbs in parentheses with present tense. [/en:]
16 mai. – Je suis être malade, décidément ! Je me portais si bien le mois dernier ! J’(avoir) la fièvre, une fièvre atroce, ou plutôt un énervement fiévreux, qui (rendre) mon âme aussi souffrante que mon corps ! J’ai sans cesse cette sensation affreuse d’un danger menaçant, cette appréhension d’un malheur qui (venir) ou de la mort qui (approcher) , ce pressentiment qui est sans doute l’atteinte d’un mal encore inconnu, germant dans le sang et dans la chair.
18 mai. – Je (venir) d’aller consulter un médecin, car je ne pouvais plus dormir. Il m’a trouvé le pouls rapide, l’œil dilaté, les nerfs vibrants, mais sans aucun symptôme alarmant. Je dois me soumettre aux douches et boire du bromure de potassium.
25 mai. – Aucun changement ! Mon état, vraiment, est bizarre. À mesure qu’ (approcher) le soir, une inquiétude incompréhensible m’ (envahir), comme si la nuit cachait pour moi une menace terrible. Je dîne vite, puis j’ essayer de lire ; mais je ne (comprendre) pas les mots ; je (distinguer) à peine les lettres. Je (marcher) alors dans mon salon de long en large, sous l’oppression d’une crainte confuse et irrésistible, la crainte du sommeil et la crainte du lit.
18 mai. – Je (venir) d’aller consulter un médecin, car je ne pouvais plus dormir. Il m’a trouvé le pouls rapide, l’œil dilaté, les nerfs vibrants, mais sans aucun symptôme alarmant. Je dois me soumettre aux douches et boire du bromure de potassium.
25 mai. – Aucun changement ! Mon état, vraiment, est bizarre. À mesure qu’ (approcher) le soir, une inquiétude incompréhensible m’ (envahir), comme si la nuit cachait pour moi une menace terrible. Je dîne vite, puis j’ essayer de lire ; mais je ne (comprendre) pas les mots ; je (distinguer) à peine les lettres. Je (marcher) alors dans mon salon de long en large, sous l’oppression d’une crainte confuse et irrésistible, la crainte du sommeil et la crainte du lit.